Ce blog voudrait être une libre réflexion et rêverie sur la fascination de photographes, d'artistes et d'écrivains modernes pour les mondes perdus de l'Antiquité classique. Des utopies uraniennes aux bucoliques néo-arcadiennes, d'Oxford à Taormina, d'Alexandrie aux rivages de l'Afrique du Nord, des premières photographies à l'imagerie digitale du WWW, entre le vintage et le post-modern, je voudrais explorer les ramifications d'une vision, d'un désir et d'une tradition qui entrelacent la beauté des éphèbes d'hier à celle des garçons d'aujourd'hui.
Pour nouer ces différents fils, je fais le choix d'une libre déambulation parmi les mots pour le dire et les images pour le voir.